Santal Nouvelle-Calédonie

Huile essentielle

Santalum austro-caledonicum

F&F A&C

Données générales

Détails du produit

Notre plus-value

La coupe du bois de santal est régulée par un quota de coupe établi par l’autorité locale mandatée à cet effet. Notre partenaire respecte ce quota et s’approvisionne sur une des îles de la Nouvelle-Calédonie, auprès de tribus ayant été sensibilisées à l’importance de la régénération de la ressource sur le terrain.

L’huile essentielle de santal accompagne souvent d’autres notes boisées mais aussi les notes vanillées ou balsamiques des parfums orientaux. Elle permet de mettre en lumière les fleurs opulentes comme la rose ou le jasmin.

Apaisante et calmante nerveuse, cardiotonique, phlébotonique, lymphotonique et régénératrice cutanée. Relaxante et euphorisante elle libère et élève l’esprit.

*Les propriétés d'aromathérapie dans ce document sont extraites d'ouvrages de référence, d'articles scientifiques ou de sites Web spécialisés et sont fournies au client pour son information et son usage interne uniquement. Les réclamations sur un produit fini restent de la responsabilité de l'entreprise mettant le produit fini à disposition sur le marché.

S. austrocaledonicum, originaire de Nouvelle-Calédonie et du Vanuatu, est un arbre au feuillage touffu de taille moyenne dont l’inflorescence se constitue de panicules de petites fleurs blanches. C’est un hémiparasite qui utilise les suçoirs et radicelles de ses racines pour parasiter les racines des plantes environnantes et y prélever de la sève. En forêt, il vit généralement en symbiose avec le faux Gaïac, Acacia spirobis.
Surexploité pendant des années par les santaliers, ce n’est que dans les années 1980 que l’importance de la conservation et de la gestion de cette espèce sur le territoire calédonien a été prise en considération. En 1988, le gouvernement de Nouvelle-Calédonie instaure pour la première fois les quotas de coupe et le contrôle de ces quotas.

Pour qu’un arbre puisse être abattu, il sera martelé par le garde forestier. Le garde forestier identifie les arbres à abattre en analysant différents critères comme la circonférence du tronc, l’épaisseur de l’aubier et l’état général de l’arbre. Ils sont ensuite désaubiérés et mis à sécher jusqu’à ce qu’ils perdent 20% de leur poids. Le bois est alors fendu, coupé en morceaux puis en copeaux avant d’être transformé en huile essentielle.

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